Prendre la route lors des vacances d’hiver
A l’aller comme au retour, sur la route des vacances d’hiver, la météo a ses caprices : soleil rasant, faible luminosité, chutes de neige soudaines, verglas au détour d’un virage ou au bas d’une côte… Voici quelques conseils pour se déplacer en sécurité.
Article mis à jour le 30 Juil 2024
La route des vacances d’hiver, avant de partir
- Premier réflexe : se renseigner sur les conditions météo, quelques jours avant le voyage. Ce qui permet d’avancer ou de retarder son déplacement, voire de morceler son voyage.
- Vérifier l’itinéraire et régler son GPS, prendre la route reposé dans un véhicule en bon état et correctement chargé…, en hiver, les bonnes habitudes de l’été demeurent !
- S’assurer que :
– toutes les surfaces vitrées du véhicule sont propres, y compris les rétroviseurs et l’ensemble des optiques, à l’avant comme à l’arrière ;
– les feux fonctionnent, ampoules de rechange rangées à portée de main ;
– les réservoirs sont pleins : carburant, huile, liquide de frein, eau du lave-glace ;
– les balais d’essuie-glaces, efficaces, c’est-à-dire nettoyés et en bon état ;
– les pneus “hiver”, non usés sont gonflés à la bonne pression, à l’avant et à l’arrière ; ou que les équipements pour neige/verglas sont facilement accessibles ;
– les “indispensables” sont à bord : permis de conduire, attestation d’assurance, certificat d’immatriculation, vignette de contrôle technique, gilet haute visibilité, triangle, éthylotest …
- Et, bien sûr, attacher correctement les enfants, chacun dans leur siège, adapté à leur morphologie.
La route des vacances d’hiver, pendant le trajet
Même sur le trajet du retour, les conditions de circulation en sont pas toujours au beau fixe.
- Allumer les feux, dès que la luminosité faiblit et que la visibilité diminue. C’est à la fois pour bien voir et pour se rendre visible.
- Désactiver le régulateur de vitesse quand la chaussée est humide.
- Adopter l’écoconduite, en laissant une distance de sécurité suffisante avec le véhicule qui précède. Un impératif si la chaussée est glissante.
- Réduire l’allure, même en deçà des limitations, pour toujours rester maître de sa vitesse. Ne pas oublier que rouler vite ne fait guère gagner de temps !
Et aussi
- Faire des pauses au moins toutes les 2 heures.
Car conduire dans des conditions difficiles fatigue et mieux vaut éviter la somnolence au volant.
N’oubliez pas que le chargement, sur le toit, avec ou sans coffre, ou encore dans une remorque, modifie les dimensions et les réactions du véhicule. Répartissez vos bagages de façon équilibrée, ne laissez aucun objet non arrimé et assurez vous que le poids total réel n’excède pas le poids total autorisé en charge, indiqué sur la carte grise.
Pour éviter à ceux qui vous attendent de s’inquiéter. Et au conducteur de se stresser.
Enfin, ne relâchez pas votre vigilance en fin de parcours !