FAQ
Voici les réponses aux questions les plus fréquemment posées.
Article mis à jour le 30 Juil 2024
Ses principales actions sont l’éducation routière, la formation continue des conducteurs et la sensibilisation du grand public.
Quant à la Sécurité Routière, ou DSR (Délégation à la sécurité routière), c’est un organisme public qui dépend du ministère de l’Intérieur depuis fin 2010. Parmi ses missions, la DSR définit les conditions générales de circulation, en exerce le contrôle, prend en charge la formation des conducteurs (contenu et examen du permis) et met en place des campagnes de communication.
L’association Prévention Routière et la Sécurité Routière ont un objectif commun : la réduction du nombre et de la gravité des accidents de la route.
Pour connaître les coordonnées de nos comités départementaux et régionaux, rendez vous sur notre page “Agir dans votre région”.
Quant aux infractions entraînant le retrait d’un seul point, celui-ci est récupéré automatiquement au bout de 6 mois, en l’absence de nouvelle infraction commise dans ce délai.
Il est aussi possible de récupérer 4 points, dans la limite du plafond du permis, en suivant volontairement un stage de sensibilisation à la sécurité routière qui se déroule pendant 2 jours consécutifs. Attention : on ne peut pas suivre plus d’un stage par an.
Pour trouver un stage et s’inscrire, rien de plus simple ! Il suffit de :
– consulter le site www.recuperation-points-permis.org
– téléphoner au 09 70 80 90 88
– contacter le centre de votre département auprès de l’un de nos comités départementaux : pour connaître leurs coordonnées, rendez-vous sur la page “Agir dans votre région“.
Les bénévoles spécialisés peuvent agir dans d’autres domaines très variés.
L’association compte déjà 1 300 bénévoles.
Vous souhaitez en savoir davantage ? Vous impliquer ? Découvrez nos offres de bénévolat dans toute la France !
Contactez le comité de votre département. Nous avons besoin de vous !.
Le choix du conducteur se fait AVANT de sortir et AVANT absorption d’alcool. Les quantités d’alcool consommées s’additionnent et s’éliminent lentement (environ 0,15 g/h).
Les organisateurs de soirées étudiantes, les responsables de discothèques et de bars peuvent mettre en place l’opération “Capitaine de soirée”. Ils doivent, pour cela, prendre contact avec le comité de l’association Prévention Routière dans leur département : pour connaître leurs coordonnées, rendez-vous sur notre page “Agir dans votre région”.
– l’éthylotest chimique ou “ballon”, à usage unique, dont l’embout change de couleur lorsque la conduite est interdite (il ne donne pas de mesure) ;
– l’éthylotest électronique, un peu plus cher mais réutilisable, qui fournit une mesure digitale de la concentration d’alcool, exprimée en mg/l.
Depuis le 1er juillet 2021, des éthylotests chimiques, parfois aussi électroniques, sont vendus dans les débits de boissons alcoolisées, à emporter ou en vente en ligne. Les éthylotests sont aussi disponibles en pharmacie ou en parapharmacie, y compris en grandes surfaces.
Dans tous les cas, il vaut mieux choisir un produit homologué et certifié par la marque “NF”, gages de fiabilité.
Les forces de l’ordre utilisent, quant à elles, un éthylomètre, un appareil étalonné qui mesure, en mg/l, la concentration d’alcool dans l’air expiré.
Alcoolémie :
– pour les conducteurs novices, titulaire d’un permis probatoire, et pour les conducteurs de transport en commun, la conduite est interdite à partir de 0,2 g/l d’alcool dans le sang, ce qui correspond à 0,1 mg/l dans l’air expiré ;
– pour les autres conducteurs, la limite est fixée à 0,5 g/l dans le sang, soit 0,25 mg/l dans l’air expiré.
Pour tous ceux qui souhaitent remettre à niveau leurs connaissances ou vérifier qu’ils n’ont pas oublié les règles élémentaires de la sécurité, des stages sont organisés dans toute la France par les comités de l’association Prévention Routière : pour connaître leurs coordonnées, rendez-vous sur notre page “Agir dans votre région”.
De la réunion d’information avec débat à une séance pratique sur un parcours de conduite commenté, ces séances prennent des formes diverses, qui varient en fonction de la demande et des partenariats locaux.
Dans la vaste panoplie des radars existants, il y en a un pour chaque usage et chaque circonstance. Certains sont fixes, en bordure de route. D’autres sont mobiles, en fonctionnement dans des véhicules banalisés à l’arrêt, sur des points de contrôle qui peuvent varier.
Les uns sont discriminants (pouvant différencier les différentes catégories de véhicules, notamment les poids lourds ou les autocars et identifier sur un cliché LE véhicule en infraction au milieu d’autres). D’autres sont “tronçon”, “chantier”, “feu rouge” ou “passage à niveau” ou “stop”, pour les plus récents, selon les lieux qu’ils ont pour fonction de sécuriser.
Quelques modèles sont “mobiles-mobiles”, c’est-à-dire embarqués dans des véhicules banalisés en circulation.
Enfin, il existe des “zones de contrôles avec présence aléatoire du radar” où des panneaux annoncent la présence de radars, alors que l’un d’entre ceux-ci est factice ou que la cabine-radar est vide.
Les radars ne font pas non plus de distinction entre les véhicules immatriculés en France et à l’étranger. Aujourd’hui, la plupart des États du continent européen se sont mis d’accord sur une procédure commune : communiquer les coordonnées du conducteur en infraction aux autorités du pays où l’infraction a été constatée afin que les infractionnistes soient poursuivis et sanctionnés. Pour les excès de vitesse, comme pour une série d’autres infractions.
Ainsi, un dispositif automatique de limitation de la vitesse sera installé sur les véhicules nouvellement commercialisés dans toute l’Union européenne dès juillet 2022. C’est une décision du Parlement européen.
Il s’agit là d’une mesure demandée depuis plusieurs années aux constructeurs par l’association Prévention Routière.
Mais des dérogations existent pour trois situations expressément prévues par le Code de la route. Un enfant de moins de 10 ans peut exceptionnellement prendre place à l’avant :
– si le véhicule ne dispose d’aucun siège arrière ou si les sièges ne comportent pas de ceinture de sécurité ;
– si la banquette arrière est momentanément inutilisable ou déjà occupée par des enfants de moins de 10 ans installés chacun dans leur dispositif de retenue ;
– si l’enfant est transporté dans un siège “dos à la route”.
Il est absolument nécessaire de désactiver l’airbag lorsqu’un enfant est installé à l’avant.
Mais seules les personnes nées avant le 31 décembre 1987 n’ont besoin ni de permis ni de BSR. Toutefois, quelques heures de formation en moto-école sont bienvenues… pour se familiariser avec la conduite d’un deux-roues à moteur.
Pour les plus jeunes, nés à partir de 1988, la conduite d’un cyclo nécessite le permis AM ou le BSR, le brevet de sécurité routière.
Le permis AM s’obtient, comme le BSR, en deux temps :
– la formation théorique est validée par l’ASSR 1 (en classe de 5e) ou par l’ASSR 2 (en classe de 3e) ou encore l’ASR (pour tous ceux en apprentissage ou ayant quitté le système scolaire) ;
– la formation pratique est validée par l’attestation de suivi de formation en école de conduite pendant au moins 8 h.
Puis, par la délivrance du permis par la préfecture.
Si un mineur est transporté non attaché, le conducteur sera redevable d’une amende de 135 €, sans perte de points.